- Nero94GakiVotre premier message !Un premier message sur le forum.Un ancien de Manga-FanPlus de 5 ans sur Manga-Fan.
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[MANGAKA] Tetsuo Hara
Ven 28 Déc 2018 - 18:26
Carte d'identité
Nom, Prénom: Tetsuo Hara (原哲夫 )
Age: 58 ans
Date de naissance: 2 septembre 1961
Lieu de naissance: Tokyo (Japon)
Profession: Dessinateur, Scénariste
Nationalité: Japonaise
Age: 58 ans
Date de naissance: 2 septembre 1961
Lieu de naissance: Tokyo (Japon)
Profession: Dessinateur, Scénariste
Nationalité: Japonaise
Biographie
Dès son plus jeune âge, Hara est attiré par le monde du dessin et décide de devenir dessinateur. Cependant, le monde du manga l'indiffèrait car pour lui, ce n'était que des dessins fixes sur des feuilles de papier sans intêret. A 9 ans, son objectif était d’être un grand animateur dans l’un des grands studios d’animation nippone, qui dans les années 70, était en pleine explosion. En cours de maths, Hara dessinait continuellement sur ses feuilles de cours et s'amusait à les faire bouger en tournant les feuilles de son cahier, à la manière d'un flipbook. Malgré le fait qu'il soit atteint d'une déformation oculaire rare, la cornée conique, cela ne le décourage pas pour autant. Cette déformation l'oblige à fermer un œil pour dessiner et à reprendre à de multiples reprises ses dessins pour en rectifier les erreurs dues à la déformation de perspective que cela induit. Néanmoins grâce à ces efforts il parvient à se forger un style et à élaborer de magnifiques dessins.
Par la suite, il fût assigné à un internat pendant 6 mois. Il en profitait pour emprunter des mangas à son camarades de chambre, pour s'occuper durant les longues après-midis d'hiver. Stupéfait par les dessins du manga Tensai Bakabo, écrit et dessiné par Fujio Akatsuka, Hara découvre un intérêt pour le manga. Il était impressionné par la manière dont l'auteur rendait les mouvements des personnages fluides et réalistes, seulement grâce à de simples feuilles de papiers.
Plus tard avec un groupe d'amis au lycée, il débute dans un petit magazine intitulé Tenshin Ranman tiré à 30 exemplaires et imprimé à l'aide d'une photocopieuse. Au sein du magazine, il publie une petite histoire policière, Gendai no jinsei, qui s'inspire en de nombreux points du style très caractéristique de Katsuhiro Ōtomo ou encore de Modern Life tiré d’un récit de Shin'ichi. Plus tard dans l'année, il se décide à envoyer ses travaux à Takao Yaguchi, auteur de Paul le pêcheur. Il obtient alors un petit boulot d’assistant durant l’été. Yaguchi finit par se passer de ces services. Il estimait que le style d'Hara manquait de maturité et l'encourageait à le travailler pour l'améliorer.
Après ce renvoi, le jeune homme travaille pour survivre dans un petit restaurant qui sert des rāmen. Il suit alors les cours du soir de la prestigieuse école de mangaka de Kazuo Koike « Lone Wolf », dont aujourd’hui l’un de ses locaux à Ōsaka s’est spécialisé dans le monde de l’animation, avec une section Computer Graphics, mentors de la plupart des entrants au studio Gonzo.
Durant le mois de novembre 1981, diplômé du lycée Hongō, Hara est décidé à franchir le pas et envoie son manga Gendai no jinsei à la société éditrice dominante, la Shūeisha. Son travail atterrit dans les mains de Buichi Terasawa (auteur du manga, Cobra), qui semble apprécier les talents du jeune homme. Il décide de lui trouver un poste d'assistant aux côtés de Yoshihiro Takahashi (auteur de Ginga - Nagareboshi-gin) durant près de 2 ans.
Hara abandonne rapidement son poste d'assistant pour faire ses preuves lors de la 33e édition du concours Fresh Jump pour jeunes talents organisé par la Shūeisha, avec son manga Super Challenger, consacré à l'univers de la boxe. Victorieux, il tente l'aventure solitaire en août 1982 avec son premier véritable titre officiel dans un volume spécial de la principale revue, Weekly Shōnen Jump, en tout début de magazine, Mad Fighter, hommage à son héros favori Mad Max. Cette oeuvre n'a pour autant pas connu le succès. Il s'ensuit de l'histoire de Crash Hero, publiée dans le numéro 43 de 1982 du Weekly Shōnen Jump, sorte de prologue à Iron no Don Quichote.
Le premier manga de Tetsuo Hara, Iron no Don Quichote raconte les histoires d’un jeune héros pilote de moto-cross.
Il débute une autre histoire sur un épisode introductif de sa nouvelle œuvre, Hokuto no Ken. Deux histoires complètes, publiées dans un numéro spécial de Shōnen Jump en avril 1983, relatent l'adolescence de Kenshirō Kasumi avant l'holocauste. Très appréciées par le public et la Shūeisha, celle-ci décide de lui laisser développer l'histoire en lui asseignant le scénariste Buronson.
Le succès tant attendu est enfin là. Le manga est devenu une référence et a ainsi passé la barre des 100 millions d'exemplaires vendus.
Rapidement adaptée en un anime, le 11 octobre 1984 pour un total de 109 épisodes, la série rencontre le succès sur tous les formats. L'aventure prend fin en 1989, et le jeune artiste se sépare de son scénariste.
Cyber Blue, son manga suivant scénarisé par Rūichi Mitsui est également un très gros succès, mais essuie de très vives critiques notamment à cause de son caractère ultra violent.
Il l'abandonne au bout de quatre volumes pour se consacrer à son deuxième grand succès, Keiji, d'après l'œuvre de Keiichirō Ryū, un célèbre romancier japonais, qui publia surtout des romans basés sur sa conception révolutionnaire de l'histoire japonaise, et scénarisé par Mio Asō (麻生未央).
Pendant une dizaine d'années, Tetsuo Hara se basera sur des œuvres de Ryū pour créer ses mangas. Entre temps, il y a eut Kagemusha Tokugawa Ieyasu, scénarisé par Shō Aikawa
Puis, Sakon Sengoku Fūroku, scénarisé par Shingo Nihash.
Il fut aussi l'auteur de nombreuses Short Stories.
Il commença ces Short Stories dans les numéros 5 et 6 de l’hebdomadaire Shōnen Jump en 1993, dans une histoire intitulée Shokugyō Kyōshu ~Zhi Ye Xiong Shō, une nouvelle publiée en 2 fois 15 pages. Cette nouvelle raconte l'histoire d'un étrange tueur à gages Hong-Kongais issue de l'histoire originale de Arimasu Ōsawa. Tout en continuant son travail habituel de mangaka, il scénarisa et dessina Kaen no shō une Short Story de 55 pages parue dans le Spring Special de la Shūeisha qui mettait à l’œuvre tous les grands artistes de la maison. Cette Short Story narre les aventures de Shō, un jeune homme disciple d’un grand maître chinois dont les parents ont été assassinées.
Peu de temps après, dans le numéro 43 du Shōnen Jump de 1996, il lance une autre petite histoire qui lui est propre: Kiseki moyuru toki, une histoire de 47 pages sur un prince dont la bien-aimée a été kidnappée par le Maître de la lune. Cette histoire est comme Mad Fighter peut l’être pour Hokuto no Ken, un prologue à Aterui The Second. Sa dernière Short Story en date s’appelle Chase tsuiseki, une histoire militaire dont le scénario est d’un certain Yoshiyuki Okamura qui n’est autre que Buronson. Les 2 hommes se sont retrouvés en 1997 pour cette courte histoire de 40 pages publiée dans le numéro 2 de Manga-Allman.
Hara retrouve Buronson, en 2001, pour élaborer une préquelle de Hokuto no Ken très attendue : Sôten no Ken. Prépublié dans le mensuel Brunch Comics, Buronson se voit attribué une place minime dans l'élaboration du scénario. Naturellement, l'oeuvre rencontre un succès auprès du public.
North Star Picture adaptera une série d’OAVs et de films sur Hokuto no Ken à partir du printemps 2006.
Il est devenu homme d'affaires, a racheté les droits de ses séries et les a ouvert avec son précèdent éditeur Nobuhiko Horie (actuel président de Coamix) un studio d'animation.
Sa carrière ne s'est pas arrêté au monde du manga. Il fut aussi illustrateur de romans, illustrateur et designer de jeux vidéos.
Les romans en question sont: Kō ryū no mimi et Jubaku no machi.
Le premier, Kō ryū no mimi ,est une série de 4 volumes publiée de 1991 à 1993 dans les Jump Novels de la Shūeisha. Tetsuo Hara s’est allié à Arimasu Ōsawa (qui a aussi collaboré pour sa première Short Story) pour le scénario de cette histoire, celle d’un agent secret envoyé en Inde pour enquêter sur une louche affaire d’opium.
Le second, Jubaku no machi, est un roman sur Hokuto no Ken en guise d’ultime conclusion à la célèbre saga, éditée en 1996 à la Shūeisha également.
En 2003, le studio ACGT en a adapté le contenu en 3 OAVs, peu appréciés des fans.
Enfin, Tetsuo Hara a également travaillé en 1993 pour le jeu Muscle Bomber de Capcom. Il a conçu les diverses illustrations du jeu mais également le design des personnages.
Bibliographie
Mad Fighter (1982)
Crash Hero (1982
Iron no Don Quichote (1982-1983), 2 volumes.
Hokuto no Ken (1983-1988), 27 volumes, scénario de Buronson.
Cyber Blue (1988-1989), 4 volumes, scénario de Rūichi Mitsui d'après une œuvre de BOB.
Hana no Keiji (1990-1993), 18 volumes, d'après Keiichirô Ryū, scénario de Mio Asō.
Kagemusha Tokugawa Ieyasu (1994 19-95), 6 volumes, d'après Keiichirō Ryū, scénario de Shō Aikawa.
Takeki Ryūsei (1995-1996), 3 volumes.
Sakon Sengoku Fūnroku (1997-2000), 6 volumes, d'après Keiichirô Ryū, scénario de Shingo Nihashi.
Hyudora(1997-1998), 1 volume, scénario de Tadashi Ikuta.
Kōken Ryoku o Ryōsōsakan Nakabō Rintarō (1998-2000), 2 volumes, supervisé par Makoto Sakata.
Aterui The Second (2000), 1 volume, scénarisé par Katsuhiko Takahashi.
Ken - Fist of the Blue Sky (2001-2010), 22 volumes, supervisé par Buronson.
Keiji, avec Mio Asō et Keiichirō Ryū, 18 tomes.
Dès son plus jeune âge, Hara est attiré par le monde du dessin et décide de devenir dessinateur. Cependant, le monde du manga l'indiffèrait car pour lui, ce n'était que des dessins fixes sur des feuilles de papier sans intêret. A 9 ans, son objectif était d’être un grand animateur dans l’un des grands studios d’animation nippone, qui dans les années 70, était en pleine explosion. En cours de maths, Hara dessinait continuellement sur ses feuilles de cours et s'amusait à les faire bouger en tournant les feuilles de son cahier, à la manière d'un flipbook. Malgré le fait qu'il soit atteint d'une déformation oculaire rare, la cornée conique, cela ne le décourage pas pour autant. Cette déformation l'oblige à fermer un œil pour dessiner et à reprendre à de multiples reprises ses dessins pour en rectifier les erreurs dues à la déformation de perspective que cela induit. Néanmoins grâce à ces efforts il parvient à se forger un style et à élaborer de magnifiques dessins.
Par la suite, il fût assigné à un internat pendant 6 mois. Il en profitait pour emprunter des mangas à son camarades de chambre, pour s'occuper durant les longues après-midis d'hiver. Stupéfait par les dessins du manga Tensai Bakabo, écrit et dessiné par Fujio Akatsuka, Hara découvre un intérêt pour le manga. Il était impressionné par la manière dont l'auteur rendait les mouvements des personnages fluides et réalistes, seulement grâce à de simples feuilles de papiers.
Plus tard avec un groupe d'amis au lycée, il débute dans un petit magazine intitulé Tenshin Ranman tiré à 30 exemplaires et imprimé à l'aide d'une photocopieuse. Au sein du magazine, il publie une petite histoire policière, Gendai no jinsei, qui s'inspire en de nombreux points du style très caractéristique de Katsuhiro Ōtomo ou encore de Modern Life tiré d’un récit de Shin'ichi. Plus tard dans l'année, il se décide à envoyer ses travaux à Takao Yaguchi, auteur de Paul le pêcheur. Il obtient alors un petit boulot d’assistant durant l’été. Yaguchi finit par se passer de ces services. Il estimait que le style d'Hara manquait de maturité et l'encourageait à le travailler pour l'améliorer.
Après ce renvoi, le jeune homme travaille pour survivre dans un petit restaurant qui sert des rāmen. Il suit alors les cours du soir de la prestigieuse école de mangaka de Kazuo Koike « Lone Wolf », dont aujourd’hui l’un de ses locaux à Ōsaka s’est spécialisé dans le monde de l’animation, avec une section Computer Graphics, mentors de la plupart des entrants au studio Gonzo.
Durant le mois de novembre 1981, diplômé du lycée Hongō, Hara est décidé à franchir le pas et envoie son manga Gendai no jinsei à la société éditrice dominante, la Shūeisha. Son travail atterrit dans les mains de Buichi Terasawa (auteur du manga, Cobra), qui semble apprécier les talents du jeune homme. Il décide de lui trouver un poste d'assistant aux côtés de Yoshihiro Takahashi (auteur de Ginga - Nagareboshi-gin) durant près de 2 ans.
Hara abandonne rapidement son poste d'assistant pour faire ses preuves lors de la 33e édition du concours Fresh Jump pour jeunes talents organisé par la Shūeisha, avec son manga Super Challenger, consacré à l'univers de la boxe. Victorieux, il tente l'aventure solitaire en août 1982 avec son premier véritable titre officiel dans un volume spécial de la principale revue, Weekly Shōnen Jump, en tout début de magazine, Mad Fighter, hommage à son héros favori Mad Max. Cette oeuvre n'a pour autant pas connu le succès. Il s'ensuit de l'histoire de Crash Hero, publiée dans le numéro 43 de 1982 du Weekly Shōnen Jump, sorte de prologue à Iron no Don Quichote.
Le premier manga de Tetsuo Hara, Iron no Don Quichote raconte les histoires d’un jeune héros pilote de moto-cross.
Il débute une autre histoire sur un épisode introductif de sa nouvelle œuvre, Hokuto no Ken. Deux histoires complètes, publiées dans un numéro spécial de Shōnen Jump en avril 1983, relatent l'adolescence de Kenshirō Kasumi avant l'holocauste. Très appréciées par le public et la Shūeisha, celle-ci décide de lui laisser développer l'histoire en lui asseignant le scénariste Buronson.
Le succès tant attendu est enfin là. Le manga est devenu une référence et a ainsi passé la barre des 100 millions d'exemplaires vendus.
Rapidement adaptée en un anime, le 11 octobre 1984 pour un total de 109 épisodes, la série rencontre le succès sur tous les formats. L'aventure prend fin en 1989, et le jeune artiste se sépare de son scénariste.
Cyber Blue, son manga suivant scénarisé par Rūichi Mitsui est également un très gros succès, mais essuie de très vives critiques notamment à cause de son caractère ultra violent.
Il l'abandonne au bout de quatre volumes pour se consacrer à son deuxième grand succès, Keiji, d'après l'œuvre de Keiichirō Ryū, un célèbre romancier japonais, qui publia surtout des romans basés sur sa conception révolutionnaire de l'histoire japonaise, et scénarisé par Mio Asō (麻生未央).
Pendant une dizaine d'années, Tetsuo Hara se basera sur des œuvres de Ryū pour créer ses mangas. Entre temps, il y a eut Kagemusha Tokugawa Ieyasu, scénarisé par Shō Aikawa
Puis, Sakon Sengoku Fūroku, scénarisé par Shingo Nihash.
Il fut aussi l'auteur de nombreuses Short Stories.
Il commença ces Short Stories dans les numéros 5 et 6 de l’hebdomadaire Shōnen Jump en 1993, dans une histoire intitulée Shokugyō Kyōshu ~Zhi Ye Xiong Shō, une nouvelle publiée en 2 fois 15 pages. Cette nouvelle raconte l'histoire d'un étrange tueur à gages Hong-Kongais issue de l'histoire originale de Arimasu Ōsawa. Tout en continuant son travail habituel de mangaka, il scénarisa et dessina Kaen no shō une Short Story de 55 pages parue dans le Spring Special de la Shūeisha qui mettait à l’œuvre tous les grands artistes de la maison. Cette Short Story narre les aventures de Shō, un jeune homme disciple d’un grand maître chinois dont les parents ont été assassinées.
Peu de temps après, dans le numéro 43 du Shōnen Jump de 1996, il lance une autre petite histoire qui lui est propre: Kiseki moyuru toki, une histoire de 47 pages sur un prince dont la bien-aimée a été kidnappée par le Maître de la lune. Cette histoire est comme Mad Fighter peut l’être pour Hokuto no Ken, un prologue à Aterui The Second. Sa dernière Short Story en date s’appelle Chase tsuiseki, une histoire militaire dont le scénario est d’un certain Yoshiyuki Okamura qui n’est autre que Buronson. Les 2 hommes se sont retrouvés en 1997 pour cette courte histoire de 40 pages publiée dans le numéro 2 de Manga-Allman.
Hara retrouve Buronson, en 2001, pour élaborer une préquelle de Hokuto no Ken très attendue : Sôten no Ken. Prépublié dans le mensuel Brunch Comics, Buronson se voit attribué une place minime dans l'élaboration du scénario. Naturellement, l'oeuvre rencontre un succès auprès du public.
North Star Picture adaptera une série d’OAVs et de films sur Hokuto no Ken à partir du printemps 2006.
Il est devenu homme d'affaires, a racheté les droits de ses séries et les a ouvert avec son précèdent éditeur Nobuhiko Horie (actuel président de Coamix) un studio d'animation.
Sa carrière ne s'est pas arrêté au monde du manga. Il fut aussi illustrateur de romans, illustrateur et designer de jeux vidéos.
Les romans en question sont: Kō ryū no mimi et Jubaku no machi.
Le premier, Kō ryū no mimi ,est une série de 4 volumes publiée de 1991 à 1993 dans les Jump Novels de la Shūeisha. Tetsuo Hara s’est allié à Arimasu Ōsawa (qui a aussi collaboré pour sa première Short Story) pour le scénario de cette histoire, celle d’un agent secret envoyé en Inde pour enquêter sur une louche affaire d’opium.
Le second, Jubaku no machi, est un roman sur Hokuto no Ken en guise d’ultime conclusion à la célèbre saga, éditée en 1996 à la Shūeisha également.
En 2003, le studio ACGT en a adapté le contenu en 3 OAVs, peu appréciés des fans.
Enfin, Tetsuo Hara a également travaillé en 1993 pour le jeu Muscle Bomber de Capcom. Il a conçu les diverses illustrations du jeu mais également le design des personnages.
Bibliographie
Mad Fighter (1982)
Crash Hero (1982
Iron no Don Quichote (1982-1983), 2 volumes.
Hokuto no Ken (1983-1988), 27 volumes, scénario de Buronson.
Cyber Blue (1988-1989), 4 volumes, scénario de Rūichi Mitsui d'après une œuvre de BOB.
Hana no Keiji (1990-1993), 18 volumes, d'après Keiichirô Ryū, scénario de Mio Asō.
Kagemusha Tokugawa Ieyasu (1994 19-95), 6 volumes, d'après Keiichirō Ryū, scénario de Shō Aikawa.
Takeki Ryūsei (1995-1996), 3 volumes.
Sakon Sengoku Fūnroku (1997-2000), 6 volumes, d'après Keiichirô Ryū, scénario de Shingo Nihashi.
Hyudora(1997-1998), 1 volume, scénario de Tadashi Ikuta.
Kōken Ryoku o Ryōsōsakan Nakabō Rintarō (1998-2000), 2 volumes, supervisé par Makoto Sakata.
Aterui The Second (2000), 1 volume, scénarisé par Katsuhiko Takahashi.
Ken - Fist of the Blue Sky (2001-2010), 22 volumes, supervisé par Buronson.
Keiji, avec Mio Asō et Keiichirō Ryū, 18 tomes.
Source:Wikipédia
Mon Opinion
Les dessins de Hara sont tout simplement magnifiques. J'ai fini de lire Hokuto no Ken en Juillet dernier. Les dessins de Hara permettent une mise scène très poussés et des scènes de combats très intenses. N'ayant lu que Hokuto no Ken, je ne peux pas donner un avis spécifique sur l'ensemble du travail de Tetsuo Hara, cependant je tenais à faire ces fiches sur ce mangaka car j'estime tout de même que son travail mérite le détour (oui, je dis ça alors que je ne me suis intéressé à aucune autre œuvre qu'il a pu produire x)
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